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 Wings of the world.. | Kim Yi

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2 participants
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Lee Min Ho

Lee Min Ho


Masculin
● Messages : 79
● Ma p'tite phrase que j'aime ? : J'ai un minou dans la gorge ! Va chercher une souris .. èwé
● S'que je fais de mes journées ? : Flâner et surtout.. m'amuser 8D
● Comment qu'ça va ? : J'pense que ça va Oo'

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MessageSujet: Wings of the world.. | Kim Yi   Wings of the world.. | Kim Yi Icon_minitimeMar 22 Sep - 21:47

    Il était là, accoudé à la passerelle qui conduisait à la piscine, regardant le vide de ces yeux noisettes, perdu dans les limbes d'un profond plaisir qui le perturbait depuis ce matin là. Il se demandait même si la chute, d'ici, serait douloureuse comparé au battement de son coeur qui manquait, à chaque instant, de lui déchirer la poitrine. Ces côtes tremblaient à chaque vibration, ces mains se resserraient sur le fer qui le tenait encore à l'écart de ce vide. Séparation de la chute qui n'en serait que plus mortelle. Sa tête lui tournait. Un vent frais souleva les quelques mèches de cheveux qui s'était glisser devant son regard, l'empêchant de visiter les profondeur, peu importe, il ne regardait pas, trop perturbé par ces pensées. C'était la première fois qu'il l'a verrait, ou plutôt, la première fois qu'il lui parlerait en un face à face tant redouté. Il y a de cela plusieurs semaines qu'il avait eut l'honneur de lui parler. Ce jour là, il avait oublié son portable à la bibliothèque, tout ce qu'il avait trouvé de mieux à faire est d'emprunter le portable d'un de ces amis afin de s'appeler lui-même. Avec un peu de chance, quelqu'un décrocherait. C'est ce qui était arrivé. Mais la vois, à l'intérieur du combiné, l'avait déconnecté du monde réel. Une voix douce, mélodieuse, pure, rare dans ce monde. Il lui avait seulement dit "Bouge pas, je veux juste récupérer mon portable". Et il avait raccroché, aussi simplement. Ce qui pouvait passé pour de l'indifférence dans sa voix, pour quelqu'un qui le connaîtrait sur le bout des doigts, signifiait bien plus que ce que ça ne laissait paraître. Il était venue, ce jour-là, et il l'avait vu, si attentionné avec le nounours qui était habituellement accroché à l'appareil, déchiré au niveau du cou et il l'observa. Il l'observa longuement recoudre la peluche.. Touché, jusqu'au plus profond de son être, ce jour-là, il ne rentra pas, préférant fuir. Juste pour continuer à l'appeler, écouter cette voix, se fier à cette image qu'il avait vu de ces douces mains prenant soin de sa peluche. Les semaines avaient passées et pas un seul jour sans qu'il ne prenne un portable, emprunté à quiconque pour s'appeler et comme à chaque fois, elle décrochait. Elle s'appelle Kim Yi. Quel beau prénom. Il se l'était, de nombreuses fois, répété, recroquevillé dans son lit, le regard rêveur, à la recherche d'un moyen pour la voir, juste une autre fois. Mais il ne l'avait pas revu. Il se contentait donc du téléphone, l'intermédiaire qui lui donnait encore le goût de s'accrocher. Plus rien n'avait d'importance quand il lui parlait.

    Il était venu tôt, aujourd'hui, bien trop tôt, prêt de cette piscine, il s'était décidé. Il lui avait donné rendez-vous, la veille, aujourd'hui face à cette piscine, c'était le seul endroit qui lui permettrait de la voir sans avoir à faire à une bande de jeune adolescent moqueur et immature. Le regard rivé sur l'étendue liquide, à présent, son dos appuyé contre la bar en fer, qui lui glaça un peu plus le dos, lui montant un frisson le long de l'échine. Vêtue de blanc, il avait trouvé cette tenue adéquat à la rencontre. L'ange qu'il allait voir, de nouveau, se devait d'être bien accueillit. Il se rappelait encore, comme si c'était hier. Ces cheveux paraissant être de soie, son regard, son visage qui reflétait l'éclat pur d'une pétale de rose, douce au toucher, si seulement il pourrait, un jour, y porter ces doigts. Il leva son visage vers le ciel, ces yeux se plissant, légèrement aveuglé par le soleil pour une fois, bien haut dans le bleu presque aussi transparent que l'état dont il voudrait être à l'heure actuel. Être transparent, afin de pouvoir la voir, sans craindre qu'elle ne le repousse, ou ne se mette à fuir loin de lui. Il ferma les yeux, se laissant porter parmi ces couches brumeuses que l'on appelle nuage. C'est fou comme, à ce moment-même, tout pouvait lui paraître futile. Déconnecté du monde réel, le chant des oiseaux lui paraissait loin, le vent dans les arbres le berçait toujours un peu plus, il n'avait plus mal, plus aucune douleur ne le tiraillait du fin fond de ces entrailles.
    Sa bouche s'entrouvrit, laissant passer un profond soupir. Ces bras, en croix, se posèrent sur la barre de fer, arquant son dos et s'étirant comme s'il aurait aimé faire ce saut de l'ange. Pourquoi lui faisait-elle cet effet là ? Même mourir lui paraissait inutile, tout comme de rester en vie. N'être plus qu'une âme qui pourrait encore l'aimer. L'aimer était fort, mais pas assez non plus. Ce qu'il ressentait était bien plus doux, plus discret mais plus vivace. Féroce. Il avait envie d'être sien, mais devrait-il lui en briser les ailes ? Un ange devait en rester un, s'il ne devait pas l'oublier. Son visage se crispa de terreur. Il glissa la point de sa langue contre sa lèvre inférieur, l'humidifiant, les tremblements de sa cage thoracique ne cessait de s'accroître avec le temps, les minutes défilaient, son coeur allait finir par exploser. Puis des bruits de pas, soudainement, comme pris de court, mais il mit un temps fou à le réalisé, sortant de ces songes, se redressant et portant son regard sur la chevelure brune de cet ange dont il avait souvent rêvé. Et pourtant, elle n'en savait rien. Elle ne connaissait rien de tout ce que pouvait ressentir MinHo à cet instant. Elle ne pouvait même pas songer à ce que ce garçon avait dû affronter avant de venir ici, face à elle, ni même dans quel état il se trouvait, là, face à elle. Il la laissa s'avancer, silencieux, relâchant le fer pour se mettre au milieu de son chemin, comme s'il craignait qu'elle allait passer son chemin, sans même faire attention à lui. Il la regardait, de ce léger sourire, trahissant son anxiété mais reflétant une certaine admiration. Ne trahi pas ta promesse MinHo. Le moment était venue. Son portable, il n'y pensait même pas. Il ne s'en rappelait plus. Le pourquoi du comment, tout mot de vocabulaire lui avait disparut. La regarder pendant des heures, ça il aurait pu le faire, mais ça l'aurait franchement ennuyé, il en était d'accord, si bien qu'il entrouvrit les lèvres, souriant un peu plus. Pour une fois, il laissa sa gêne de coté.

- Bonjour Kim Yi.

    Des centaines de frissons électrisèrent son corps, prononcer son prénom était devenu chose presque impossible. Son regard se baissa, puis se releva, hypnotisé par ces yeux caramel. Ce regard troublant qui l'aurait fait défaillir, mais il resta pourtant impartial, immobile, attendant la moindre réaction de la jeune fille, attendant de savoir s'il allait, ou non, regretté de s'être montré. Peut-être aurait-il dû, pour toujours, utiliser le moyen du téléphone pour lui parler. Parce qu'après lui avoir redonné son dût, qu'allait-elle faire ? S'en aller ? Disparaître à jamais ? A cette pensée, son regard s'assombrit, la suppliant presque de rester un peu plus, la suppliant, silencieusement, de ne pas s'éloigner. Elle risquerait, par ce moyen, de le tuer. Et ce, irrémédiablement.
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Lee Kim Yi
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    Sulphurous Girl
    But so Mysterious

Lee Kim Yi


Féminin
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● Ma p'tite phrase que j'aime ? : Leçon one, the franch kiss (ou french kiss en normal). Il a free, il a tout compris :3
● Où suis-je ? : Dans ma chambre ~
● S'que je fais de mes journées ? : Oh Oh ! XD Secret l'ami, ça pourrait te choquer.
● Comment qu'ça va ? : Très bien *o*

BIP BIP ...
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You can read, if you want :
Dédikace: Manix & Durex & Branlix ♥

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MessageSujet: Re: Wings of the world.. | Kim Yi   Wings of the world.. | Kim Yi Icon_minitimeMer 23 Sep - 18:36

    Quelques jours plus tôt.

    Avançant dans les courtes avenues de DongWoo, un groupe de filles se rendait au 'quartier commercial' du village. Certes, ça ne valait pas les magasins de Séoul, mais c'était le seul endroit où nos jeunes riches pouvaient acheter quelque chose de 'cher'. Certaines adoraient se pavaner devant leurs camarades plus pauvres, cependant, pour d'autres, comme par exemple pour Kim Yi, ce n'était plus marrent de défiler devant les gens de la basse société. D'après notre petite coréenne, rien de plus jouissant que de se faire reluquer sans avoir forcément des vêtements de grande marque. N'allez pas croire qu'elle n'apprécie pas se mettre en valeur ! Au contraire ! Mais dans un lieu comme DongWoo où la boutique la plus moderne est un cybercafé, il faut savoir se fondre un peu dans la masse, arrêter d'être trop voyante ou d'envier les autres en se ramenant avec une robe de haute couture alors que les autres jeunes se contentent d'un bon vieux jeans et d'un T-shirt trois fois trop large. Notre groupe d'adolescentes longeait le bâtiment qui servait mairie. Hilares, elles croisèrent d'autres jeunes, mais c'était une bande de garçons un peu plus jeunes qu'elles et qui devaient découvrir leur corps en solitaire. Kim appréciait beaucoup le fait de rester à l'écart et que les mecs arrivaient quand même à la voir. Les mâles en pleine découverte personnelle leur jetaient des regards avides. Les filles passèrent donc devant eux, sous leurs sifflements de gars immatures, pour continuer leur route en direction des boutiques


    « MERDE ! »

    C'est avec un langage particulièrement 'jeune' et avec une grande classe que la brunette s'exclama. Elle s'arrêta net, stoppant ainsi la marche du groupe. Ses amies se tournèrent vers elle, la fixant d'un air étonné. Kim leur expliqua qu'elle avait complètement zappé son cours de couture et qu'elle devait chercher après celui-ci un livre important à la bibliothèque. N'ayant pas pour habitude de s'excuser, la demoiselle quitta ses amies après les avoir salué d'un bref signe de main. Elle passa chez elle pour prendre son matériel de contour - ou plutôt sa mallette qui contenait un panel étonnant de fils ainsi que des aiguilles -. pour, par la suite, se rendre à son cours de couture.

    Le regard virant de couverture en couverture, cherchant désespérément THE ouvrage, la coréenne commençait à s'inquiéter. Et si elle ne le trouvait pas ? Cet ouvrage, si elle ne le trouvait pas, elle aurait un gros problème et serait probablement punie comme une simple gamine. En tout cas, Kim préférait ne pas tomber dans le désespoir trop vite. Kim changea de rayon, se concentrant dans la partie 'historique' de la bibliothèque. Après s'être courbée gracieusement pour atteindre un ouvrage à la reliure en cuir, un bruit attira son attention. Un petit bruit de 'vibreur', donc de portable, capta son regard et ses oreilles. Kim abandonna son ouvrage à son sort pour se concentrer sur la petite chose rectangulaire devant ses yeux. Un portable se trouvait dans le creux entre deux livres. Curieuse, Kim prit le portable d'où pendait une adorable petite peluche, genre un ourson un peu vieillot mais mignon tout plein. Qui pouvait bien appeler si ce n'est son propriétaire ? La belle brune décrocha.

    « Yeoboseyo ? »

    Silence. Une voix masculine retentit à l'autre bout du fil quelques secondes après que Kim eut parlé. S'il n'avait parlé, la jeune femme aurait sûrement raccroché, pensant à un faux numéro. Seulement, l'homme au portable se décida enfin de parler.

    « Bouge pas, je veux juste récupérer mon portable »

    Après ça, il raccrocha. La demoiselle regarda l'heure à la montre accrochée à un des murs de la bibliothèque. Mh, bon, elle l'entendrait pendant une ou deux heures, après ça, elle partirait. Pour faire passer le temps, Kim prit son livre - qu'elle avait enfin trouvé - et s'assise à une table, dans une sorte de boxe, et se mise à lire paisiblement. Une bonne heure était passée et la coréenne ne s'était pour l'instant, personne n'était venu. Kim ferma le livre et prit le portable entre ses mains. Elle observa ce petit engin pas plus de quelques secondes, mais porta son attention sur ce petit ourson. Sous ses doigts fins, la coréenne sentit la surface douce du tissus. Mais, au moment où elle lui caressa la tête avec son index comme pour gratifier un animal vivant, un peu de rembourrage sortit de son cou, et sa tête se mise à pencher dangereusement vers la droite. Oups ! Pour éviter toute représailles du propriétaire, la jeune femme ouvrit sa boîte de couture, s'empara d'une bobine de fil et d'une aiguille, et commença la réparation du little teddy bear, ne se doutant pas une seule seconde que, pendant l'opération, ledit propriétaire du portable était arrivé, sans se présenter, et l'observait dans sa démarche. Une heure d'attente après, Kim s'empara du portable puis s'en alla.

    L'homme qui l'avait appelé était bien le propriétaire du portable. Kim le sut le soir même. Comment ? L'inconnu l'appela à nouveau. Ils engagèrent une longue discussion. L'homme inconnu et Kim parlaient de tout et de rien. Ce qui intriguait Kim, s'était que cet homme n'avait pas prit la peine de venir chercher son portable, et s'occupait plus de lui poser des questions que de lui répondre sincèrement lorsqu'elle souhaitait connaître son identité. Un stalker ? Possible. En tout cas, Kim trouvait qu'il y avait quelque chose d'apaisant dans la voix de l'inconnu. A force de lui parler et de rigoler avec lui tous les jours, car oui il lui téléphonait sur le portable au nounours tous les jours, Kim commençait à apprécier cet homme dont elle ne connaissait pas l'identité et très peu de sa vie. Elle, elle lui racontait tout, comme dans un journal intime. Au fond, c'était complètement débile de dévoiler sa vie à cet étranger, mais la brunette ne s'en lassait pas. Elle espérait seulement le voir un jour, ou au moins pouvoir lui rendre son portable. Ce jour arriva.

    Ses longs doigts fins passèrent dans sa chevelure brune. La coréenne observait de sa fenêtre l'extérieur, prenant en compte le soleil radieux mais aussi le vent qui faisait danser les feuilles des arbres, devenues oranges pour certaines, pour se trouver une tenue adéquate pour la rencontre. Enfin ! Enfin Kim pourrait rencontrer le propriétaire du portable. C'est donc avec le plus grand soin que la belle brune se prépara. Étrangement, elle voulait plaire à l'inconnu à la belle voix. Ce qui l'étonna. Kim sortit, déplia, replia, rangea, puis refit ce mécanisme plusieurs fois jusqu'à trouver la 'tenue parfaite'. A la fin, Kim opta pour un simple jean, et un pull aux épaules dégagées, parfait pour mettre en valeur sa délicieuse gorge. La jeune femme fut déçue de ne pas pouvoir mettre une jolie robe, la dernière de la saison probablement car l'automne était bien présent, malgré le soleil rayonnant. Kim, belle comme un cœur, quitta la maison pour se rendre à son rendez-vous, espérant que cette fois-ci, il vendrait et ne la laisserait pas poireauter pendant deux heures.


    «
    Bonjour Kim Yi »

    Le voilà, cet inconnu. Et quel bel inconnu ! Un charmant spécimen de l'espèce mâle. Vraiment, elle n'était pas tombée sur un laideron. Pour une fois, Kim resta bouche bée. Elle admira le grain de peau clair du jeune homme, une peau qu'elle avait envi de toucher du bout des doigts tellement elle semblait irréellement parfaite. Le désir de goûter à chaque parcelle de sa peau lui devenait insupportable et dut se faire violence pour baisser les yeux, et donc penser à autre chose. Kim qui baisser les yeux ? Kim, déstabilisée ?! Impossible. Pourtant, c'était bien réel. Non pas qu'elle rougissait, mais la belle brune était impressionnée par la perfection de cet être si simple. C'est donc à ça que ressemble cet inconnu, se dit-elle. La coréenne affichait un air neutre, préférant ne pas laisser paraître son bouleversement intérieur.

    «
    B'jour ... »

    La brunette leva les yeux vers son interlocuteur, croisant ainsi son regard. Kim s'approcha doucement de l'homme, dont elle ne connaissait toujours pas l'identité, ne le quittant pas des yeux. Elle s'arrêta à quelques centimètres de son visage. Son souffle chaud caressa délicieusement son visage. Aucun des deux ne parla. L'homme avait l'air un peu déstabilisé par cette proximité soudaine. Kim passa la main dans sa poche - à elle - et en sortit l'objet rectangulaire d'où pendait une petite peluche. Elle leva sa main jusqu'au niveau de son visage, marquant ainsi une séparation entre le sien et le visage adverse. Comme par réflexe, le beau mâle se saisit de sa main, et l'abaissa, pour pouvoir à nouveau faire face au visage de cette demoiselle. La rapidité de celui-ci surprit Kim, qui ne s'attendait pas à ça.

    « Le portable ... » Articula-t-elle.

    Les deux corps se séparèrent. Le beau brun prit son portable que lui tandis sa jolie interlocutrice. Il le rangea. L'inconnu demanda à Kim son portable. Elle s'exécuta. Lorsque le beau brun eut le portable en main, il l'ouvrit pour se mit à farfouiller à l'intérieur. Quand Kim comprit enfin se qu'il était en train de faire, elle voulut lui prendre le portable des mains. Et, comme des gamins, ils se mirent à courir. Kim Yi poursuivit tout en riant MinHo qui était en train d'entrer son numéro dans le portable, tout en courant plus rapidement que la jeune femme. A la fin, Kim trébucha bêtement sur un tuyau et tomba dans l'eau. C'est à ce moment là que MinHo finit se qu'il avait commencé et arrêta sa course, remarquant la jeune femme à l'eau.

    Bien heureusement, la coréenne savait nager. Mais cela n'empêcha pas le bel Apollon de sauter à l'eau pour la 'sauver'. Lorsqu'il la rejoignit, Kim sentit ses bras l'entourer mais elle se débattit naïvement pour faire comprendre que tout allait bien, à part que maintenant, elle avait froid. tous les deux nagèrent vers le bord, s'accrochant ensuite à la paroi carrelée de la piscine. La jeune femme tourna son visage trempé, comme le reste de son corps encore immergé, vers MinHo et lui demanda.


    « Rassure-moi, tu as pensé à sortir mon portable de ta poche ? »

    Il hocha négativement de la tête et sortit de sous l'eau, son portable, qu'il posa sur le rebord. Kim étouffa un rire et sortit elle aussi le portable du coréen. Ils étaient quittes.



TENUE DE KIM YI
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